11 novembre 2009

surréalisme

Je suis là, je suis plus là, tu me vois, je te vois, tu me vois plus, je te vois plus. Et si on arrêtait de jouer à cache-cache, pour plutôt se faire peur?

Italoboyz livre 8 minutes d'une techno qui appuie là où ça fait mal, un piano menaçant, un beat de TR-808 qui se promène tout le long, une ligne de basse qui finit de terrasser les derniers garçons sur la piste, et une voix, comment dire, surprenante.

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